Confiance en la sagesse intérieure

 Ces affirmations sont vibratoires : en les prononçant à voix haute ou à voix basse, tu ne fais pas qu’énoncer des mots — tu réinformes ton système subtil. Chaque mot agit comme une onde, qui traverse le corps, l’émotionnel, le mental. Tu t’imprègnes d’un autre plan de réalité : celui de l’Être stable, spacieux, aimant.

Je reconnais en moi la Présence silencieuse qui sait.

Ma confiance n’est pas placée dans une forme, mais dans l’évidence de l’Être.

Je m’abandonne à l’intelligence vivante qui me traverse à chaque instant.

Je ne cherche plus à comprendre avec le mental ce que mon essence profonde sait déjà.

Je vois avec clarté quand le mental veut reprendre le contrôle, et je reviens à l’évidence.

Je fais confiance à la logique de la Vie, même quand elle défie mes attentes.

Le maître que je cherchais m’habite depuis toujours.

Chaque moment est une invitation à écouter plus finement ce qui me guide depuis l’intérieur.

Je relâche la peur de mal faire : ce qui est, est exactement ce qu’il faut.

Quand je m’abandonne à la Conscience, la paix devient mon état naturel.

Je me laisse respirer par l’Univers.

Je choisis la simplicité d’être, plutôt que la complexité du mental.

Je suis portée, sans effort, par une sagesse infinie que rien ne peut troubler.

Il n’y a rien à forcer, rien à corriger, seulement à reconnaître ce qui est déjà là.

Je peux tout accueillir en moi, même la peur, même la contraction. Rien ne m’éloigne de l’Être.

Je vois le personnage réagir, je ressens ses émotions, et je l’entoure de tendresse.

Je n’ai rien à rejeter. Ce que je ressens a sa place dans la lumière de ma Présence.

Il n’y a pas de conflit entre l’humanité et l’Être. Tout est embrassé dans un même amour.

Quand la peur revient, je ne la repousse pas : je l’écoute, je l’honore, puis je la laisse fondre dans l’espace que Je Suis.

Je peux être traversée par la tristesse, la colère ou l’angoisse, et rester enracinée dans le calme profond de la Conscience.

Je vois à quel point le mental revient vite… et je souris. Rien de grave. Je reviens ici.

La douceur est ma force. Je n’ai pas besoin de me durcir pour me protéger.

Ce que je ressens ne m'appartient pas : je laisse les émotions passer, sans m’y attacher.

Je suis cet espace vaste, lumineux, stable, dans lequel tout peut apparaître et disparaître sans me troubler.

Même quand le mental reprend les rênes, je me souviens : je suis toujours libre et innocente, ici, maintenantConfiance sagesse intérieure